Monsieur le rapporteur, j'ai le sentiment que vous cherchez à définir des règles qui sont, comme souvent dans notre assemblée, très bavardes, superfétatoires, et qui ont tendance à essayer de réglementer, de régler et d'organiser des choses qui relèvent du fonctionnement normal, et notamment de la façon de présider.
Les discussions au sein de la Conférence des présidents ou du Bureau de l'Assemblée sont plus efficaces et plus rapides depuis que le président de notre institution a changé, si j'en juge par la durée des réunions. Mais ce n'est pas parce que certains présidents ont laissé traîner des discussions en longueur que les règles sont forcément mauvaises : cela peut dépendre simplement de la façon de présider ! Ce n'est pas parce que la façon de présider est mauvaise qu'il faut absolument poser des règles nouvelles en espérant que l'institution sera mieux présidée.