Merci à Olga Givernet pour cet excellent travail. Dans ma circonscription, on élève des moutons de race Roussin, mais on participe aussi à la construction des douze sous-marins qui ont fait l'objet d'un contrat avec l'Australie. Les échanges sont un symbole de prospérité, de paix, de développement et d'amitié entre les peuples.
Mais comment faire pour que les accords commerciaux soient durables et ne soient pas déséquilibrés ? Je fais totalement confiance à nos institutions européennes mais je crains que sur quelques points, on ne puisse pas faire avancer les choses. Par exemple, en ce qui concerne les appellations d'origine protégées, on trouve aujourd'hui du camembert, du brie et de la feta en Australie. On y trouve de la mozzarella et d'autres fromages sans aucune difficulté. Je sais que, lors du dernier G20, le premier ministre australien a pris des engagements dans ce domaine. Mais que peut-on en attendre ? Quelle attention porte-t-on à cette question dans les négociations ?