Je rappelle que le Conseil d'orientation des infrastructures avait un temps envisagé de faire état de quatre scénarios dans son rapport, avant de décider de n'en retenir que trois. La question consistant à savoir si on est dans le scénario 2, ou un peu en deçà, est une vraie question, qui équivaut à se demander quelle ampleur on estime pouvoir donner aux politiques d'investissement dans les infrastructures.