Vous n'étiez pas présent, monsieur François Ruffin, mais nous avons évoqué hier les grands équilibres de notre programmation : les trois quarts des investissements seront consacrés au ferroviaire. Nous faisons donc le nécessaire pour remettre en état et développer notre réseau ferroviaire – cela n'a pas été fait depuis trop longtemps.
Je comprends bien l'intérêt de faire contribuer les poids lourds en transit, mais l'impact de cette mesure sur tout le secteur du transport routier serait dévastateur. Les 700 000 salariés du transport routier apprécieront…
Je suis donc défavorable à cet amendement.