Ces amendements, monsieur Martial Saddier, visent les nouvelles mises en concession et non pas les contrats existants.
J'entends vos arguments, madame la ministre, madame la rapporteure.
Reste qu'il est difficile de justifier auprès des usagers qu'ils vont avoir à payer par exemple 1 000 euros par an de péage alors qu'il n'y a eu ni voie supplémentaire, ni amélioration significative sur la route qu'ils empruntent chaque jour pour aller travailler.
Je vous propose de retravailler à une reformulation de ces amendements en vue de la séance.