– Je suis époustouflé par l'ampleur du travail engagé, qui vise à consolider le bâtiment pour que nous puissions ensuite le transmettre aux générations futures. Comment ce travail, qui s'inscrit dans une « urgence impérieuse » selon vos propres termes, cohabite-t-il au quotidien avec l'enquête en cours visant à déterminer les origines du sinistre ? Nous avons tous en tête les séries policières télévisées, où l'on entend en permanence qu'il ne faut pas détruire de preuves…