Pour ce faire, on n'admettra qu'un seul orateur.
Ce texte aura donc aussi des conséquences sur le groupe majoritaire. Tout cela procède d'une même volonté.
La vérité, c'est que le Président de la République a été traumatisé par ce qui s'est passé sous son prédécesseur. D'ailleurs, vous en avez été le témoin, monsieur le président. J'ai présidé un certain nombre de séances, à l'époque : on avait l'impression que le débat avait lieu entre les deux morceaux du groupe socialiste, les frondeurs et les légitimistes. On passait la parole à l'un puis à l'autre. Curieusement, j'étais…