Ils se laissent prendre par ce qu'on a appelé un « nouveau monde ». Mais ce nouveau monde, je ne sais pas où il nous mène – ou je ne le vois que trop : une restriction du temps de parole du représentant du peuple qui incarne la nation ici à l'Assemblée nationale, demain au Sénat et ailleurs ! On voit bien d'ailleurs la tendance qui a été citée en exemple : c'est celle du Parlement européen. Pour y avoir été en spectateur, franchement, je ne la recommanderais pas !