Monsieur Mayer, je reviens sur le sujet du Qatar.
Dans l'édition d'hier de La Tribune, il est écrit que le contrat pour les véhicules blindés de combat d'infanterie est menacé par lobbying de Rheinmetall. Vous avez un peu répondu sur le sujet en abordant la question de mon collègue Verchère, mais quand nous apprenons dans cet article que l'ancien patron de Rheinmetall International Holding (RIH) est, depuis janvier, consultant chez Barzan Holdings, société détenue par le ministère de la Défense qatari, je souhaiterais connaître votre analyse de la situation. Dans ce contexte, pouvez-vous préciser où est située l'ambition de Rheinmetall dans la région ? Face à cette nouvelle donnée, quelle est la stratégie de Nexter pour décrocher ces contrats déterminants ?