Christophe Bouillon, chef de file du groupe Socialistes et apparentés sur ce texte, a critiqué cet après-midi le projet de loi d'orientation des mobilités en soulignant qu'il s'agissait, pour l'essentiel, d'une critique « en creux », qui ne porte pas tant sur ce que contient le texte que sur ce qui aurait pu s'y trouver.
Je fais cette remarque avec une certaine humilité.