Nous sommes obligés de limiter le temps de parole des députés non inscrits puisque, par définition, ils ne font pas partie d'un groupe à l'intérieur duquel une solidarité peut s'exercer. Les non inscrits disposent d'une heure en tout ; si l'on donne plus de temps au premier qui parle, on réduit injustement le temps de parole dévolu aux autres.