Le bien-être de l'éleveur est une priorité. C'est la raison pour laquelle nous portons le nombre de prélèvements autorisés de 10 à 17 % et nous augmentons le niveau d'indemnisation. Nous allons créer des zones à l'intérieur desquelles la chasse sera autorisée afin d'empêcher la présence d'un seul loup à proximité des troupeaux.
Vous avez raison, il faut avancer au niveau européen. Un groupe de travail réunissant plusieurs pays a été installé. Nous demandons à la Commission européenne de nous laisser plus de flexibilité dans la gestion du loup dès lors que celui-ci n'est plus une espèce en voie de disparition dans notre pays.