L'amendement vise à supprimer la référence faite à un plan de mobilité scolaire. En effet, il n'est pas dans l'intention du Gouvernement d'imposer aux établissements scolaires un cadre d'action généralisé, alors que les modalités de déplacement des élèves et des personnels sont très différentes suivant l'établissement concerné, et les cadres d'action des établissements tout autant. Ainsi, la problématique est très différente entre un établissement du primaire, pour lequel la mobilité des élèves répond à un enjeu de sécurité en centre-ville, voire à un enjeu de niveau de desserte par les transports scolaires en zone rurale, et un lycée en centre-ville, vers lequel les élèves se rendent de manière autonome et au moyen de transports collectifs.