Vous me permettrez tout d'abord d'avoir une pensée pour la présidente de la région Île-de-France, Mme Pécresse, dont je suis sûr qu'elle suit nos débats : je voudrais lui dire qu'elle voit bien que nous soutenons sa position, et qu'il n'est pas besoin, chez nous, de surjouer des différences artificielles pour exister.