Je n'ai évidemment pas la même lecture que M. Mignola de ce qu'il faut faire quand deux principes s'entrechoquent. C'est peut-être ma position au sein de la commission des affaires étrangères qui veut cela, mais je considère que le droit international, la convention internationale des droits de l'enfant, la Déclaration universelle des droits de l'homme contiennent des valeurs universelles, que je ne laisserai jamais contredire par des élus locaux sous prétexte que ce sont des gens de proximité.
Je ne laisserai jamais des élus locaux dire qu'au vu de la délinquance qu'ils constatent, ils vont rétablir la peine de mort sur leur territoire !