C'est un débat que nous avons déjà eu en commission, même si l'amendement a été rectifié depuis.
J'entends des contre-vérités, voire des mensonges.
Il a ainsi été question de « quasi-gratuité » : 50 %, ce n'est pas une quasi-gratuité ! La réalité, c'est que les bénéficiaires de l'AME payent la moitié de leur titre de transport ou de leur abonnement.