En effet, monsieur le président, parce que vous ne m'avez pas donné la parole alors que je vous la demande depuis dix minutes et que vous l'avez donnée plusieurs fois à certains députés. Moi, je n'ai pas le droit de parler, semble-t-il.
Si vous me le permettez, je m'exprimerai donc – je serai très concise, car je ne voudrais pas abuser à cette heure tardive. Je veux dire à mes collègues que si vous rejetez cet amendement, alors vous cautionnez le fait qu'en France…