Ils respectent bel et bien le principe de libre administration des collectivités locales. L'idée, cependant, est d'encourager les autorités organisatrices de la mobilité à pratiquer des tarifs sociaux et solidaires : cela répondrait à la fois aux besoins des familles modestes et à la nécessité, pour ces autorités, d'investir massivement dans le développement des transports en commun publics.