Nous en devons l'initiative à Martine Wonner. Il vise, comme celui qui avait été examiné à l'article 6, à faire reconnaître, cette fois à propos des aidants, la spécificité des troubles psychiques ou du handicap psychiques, parfois minorés ou oubliés dans les mesures concernant la mobilité. Je suis très heureuse de l'adoption de l'amendement qui reconnaît le travail des aidants. Dans le même esprit, il s'agit ici simplement de faire aussi bénéficier de mesures tarifaires spécifiques les accompagnateurs des personnes souffrant de troubles psychiques.
Compte tenu des arguments avancés hier et à l'instant par la ministre et le rapporteur, qui nous ont bien confirmé que la prise en considération du handicap inclut les troubles psychiques, je pense que Mme Wonner ne me reprochera pas de retirer son amendement, car on peut considérer que l'objectif poursuivi – appeler l'attention sur ces troubles – est atteint.