La numérisation des stocks, en effet, est quant à elle problématique. Cette mise à jour entraînerait une charge de travail supplémentaire mais les arrêtés ayant été transmis depuis des décennies à certains services, les préfectures ou les sous-préfectures pourraient s'en charger et cela ne pèserait donc pas sur les collectivités locales si la volonté politique d'aller en ce sens est bien là.