Nous nous donnons douze mois pour rédiger des adaptations législatives portant notamment sur des expérimentations d'une durée maximale de cinq ans. Par la suite, peut-être aurons-nous l'occasion de nous revoir dans le cadre d'un nouveau projet de loi, si de nouvelles évolutions législatives sont nécessaires. Il me semble en tout cas important de faire preuve de souplesse : les six dispositions dont je parlais et que nous avons introduites dans la loi correspondent à autant de freins que nous allons lever pour permettre, je le répète, une mobilité plus facile, plus accessible et plus propre dans nos territoires – un objectif que nous pouvons tous partager.