Les débats que nous avons cet après-midi – vous l'avez rappelé, monsieur Adam – vise à déterminer si l'autorité organisatrice de la mobilité doit ou non ouvrir aux usagers la possibilité d'emprunter les véhicules de transport en commun avec un vélo ou une poussette – le cas des personnes handicapées étant à part.
Laissons les autorités organisatrices de la mobilité en décider ! Au demeurant, rien ne nous empêche, en tant que parlementaires, de saisir une autorité organisatrice de la mobilité pour qu'elle examine la question. Nous poursuivons tous le même objectif : le développement de la multimodalité, qui suppose de favoriser le recours successif au vélo, au bus et à la marche.
Il faut que l'autorité organisatrice de la mobilité en décide. Le reste est affaire d'homologation des cars, laquelle fait l'objet d'une réglementation très précise. J'invite nos collègues élus de territoires où la multimodalité est insuffisamment développée à saisir l'autorité organisatrice de la mobilité concernée.