Juste un mot, car je vais devoir vous quitter. Je vous remercie, d'ailleurs, de m'avoir accueilli pendant toute la semaine bien que je ne sois pas membre de la commission du développement durable et n'y aie pas travaillé pendant cinquante et une heures. Ce travail accompli ensemble m'a passionné, il m'a vraiment donné l'impression de jouer mon rôle de parlementaire. Dans ma circonscription, où je rentrerai ce soir pour passer le week-end, je pourrai expliquer à nos concitoyens ce que nous avons décidé sur le sujet. Cette seule raison justifiait à mes yeux ma présence.
D'autre part, j'ai cosigné l'amendement de M. Orphelin. La chose n'est pas si courante, car beaucoup d'amendements de la majorité ne peuvent être cosignés par des membres de l'opposition en raison de l'antagonisme politique, ce qui est très regrettable. L'amendement de M. Orphelin est un très bon amendement, et, même si je ne puis être présent pour le voter, je l'approuve sans réserve.