La demande continuera de croître, tout le monde fait ce pari. Nous, producteurs de bios, comme la GMS qui connaît des problèmes existentiels et financiers, misons sur le développement de cette agriculture. Nous n'avons pas de raison d'y voir des limites, vous-mêmes dans cette enceinte évoquez les pesticides, les cancers, les perturbateurs endocriniens, etc. Tous ces problèmes qui sont à l'origine de l'agriculture biologique ne vont pas disparaître brutalement.
Avec nos partenaires des filières, il nous appartient de gérer les variations du marché, qui peuvent dépendre de décisions politiques ou de l'évolution de la demande. Mais cela pas simplement du commerce, l'organisation de filières que nous tâchons de mettre concrètement en oeuvre est aussi impliquée.