L'année dernière, la moitié des questions qui avaient été posées concernait la sous-budgétisation et la sincérité du budget. Je nous félicite du fait que, aujourd'hui, le budget soit conforme à ce que nous avons voté – ce qui me semble être un principe, non seulement de bonne gestion, mais aussi, tout simplement, de respect des parlementaires.
Comment systématiser ce principe de sincérité budgétaire ? Éventuellement en accroissant les pouvoirs du Haut Conseil ? Quel votre avis sur cette question, monsieur le premier président ?