Monsieur le Premier président, permettez-moi cette caricature : si nous étions une entreprise, vous n'auriez pas certifié nos comptes. Vous les auriez peut-être même rejetés, voire saisi la justice.
Parmi les réserves que vous avez émises, un sujet m'est particulièrement cher : notre patrimoine corporel et son évaluation. Vous vous dites dans l'impossibilité de l'évaluer, alors même qu'il est évalué. Comment avez-vous procédé ? L'avez-vous surévalué ? Sous-évalué ? Comment cela fonctionne-t-il ?