Nous avions essayé de nous séparer d'un bien pour soixante-dix ou quatre-vingts ans et d'y faire les travaux nécessaires, par exemple pour l'Hôtel de Seignelay. Ce n'était pas simple, peut-être l'est-ce un peu plus maintenant. En tout état de cause, le niveau des travaux est tel – du fait d'un entretien insuffisant pendant à quarante ans, que la rentabilité était assez faible.
Au vu de votre expérience, considérez-vous que la politique faisant de l'État le propriétaire unique est une réussite ?