Vélo et transports en commun sont en effet complémentaires au point qu'il est possible de parler de mix de mobilités. Ainsi, dans ma circonscription des Alpes-Martimes, qui accueille la technopole de Sophia-Antipolis, de nombreux salariés se rendent à vélo de leur domicile à la gare multimodale, puis empruntent un moyen de transport en commun, avant d'effectuer de nouveau à vélo le « dernier kilomètre » qui les sépare de leur entreprise. Cela nécessite d'ailleurs des aménagements particuliers pour que les bus, les trains ou les tramways prennent les vélos à bord.
Ce mix de mobilités est une bonne chose. L'amendement vise donc à pouvoir cumuler les deux systèmes.