Nous partageons cette préoccupation. D'autres pays se sont déjà engagés à graver ces termes dans le marbre de la loi. Cela étant, il faut être attentif aux implications juridiques de l'insertion de la notion d'état d'urgence dans le code de l'énergie. Je vous propose donc de retirer cet amendement afin de le retravailler en vue de la séance.