Ce sujet d'apparence technique est fondamental, car il a trait à l'équilibre entre les différentes sources d'énergie, notamment l'électricité et les énergies fossiles ; il est de nature éminemment politique et stratégique. Il y a dix ans déjà, les auteurs d'un rapport de l'OPECST avaient constaté que jamais auparavant le lobbying n'avait été aussi fort concernant l'objectif de 50 kilowattheures et le coefficient de 2,58. Il est très important d'en faire un réel enjeu de la politique énergétique. Mon amendement CD38 va dans le même sens que celui qui vient d'être présenté et vise à ce que le coefficient en question reste au plus près de la valeur de 2,58.