Notre patrie restera celle des humiliés, des opprimés.
Non pour nous, disais-je, mais pour le changement radical dans la façon de produire, d'échanger, de consommer, condition de notre survie collective ; bref, non pour nous, non pour une étiquette politique, mais pour le monde que nous voulons faire naître, en dépit de vous et contre vous.
Il le faut – ne rien céder et vous combattre : car vous-même ne cédez rien, et le prétendu acte II apparaît comme le bégaiement de l'acte I. Et vous êtes le danger.