Une publication scientifique à comité de lecture, sortie ce matin, montre que la baisse de la pollution de l'air et de la concentration en particules induit une baisse de l'intensité asthmatique. Les malades hospitalisés sont également un public sensible.
Comme je l'ai expliqué précédemment, nous examinerons ultérieurement un amendement, le no 2234, que je proposerai de sous-amender car il manque de précision, voire d'ambition. L'amendement dispose que le plan d'action doit intégrer une analyse des solutions à mettre en oeuvre pour les établissements recevant un public sensible. Pour ma part, je proposerai, ce qui va plus loin, que le plan d'action tienne compte des publics les plus sensibles, et pas seulement des enfants. Je ne souhaite pas que l'on écrive ou laisse entendre que les personnes sensibles sont uniquement les enfants, même s'il est évidemment très important de protéger ces derniers.