J'ai écouté attentivement tout ce débat, car je pensais que les arguments déployés dans le détail par Christophe Bouillon et le travail réalisé par ce dernier avec Dominique Potier convaincraient. Ils ont en effet tenu compte du fait qu'il fallait, sans brusquer les choses, donner un signal fort – c'est le sens des amendements – , à tel point que le Premier ministre lui-même, voilà deux jours, a dit qu'il avait compris le message et allait accélérer les choses.
Notre collègue Pichereau parlait tout à l'heure de loi de programmation. Justement : un tel texte fixe des principes, …