Il avait très certainement raison. Nous pourrions en effet envisager de revenir à plus de normalité ou, du moins, à ce qui existait auparavant, pour que l'État en bénéficie. Mais reconnaissez qu'aujourd'hui, nous cherchons des fonds pour assurer la transformation des mobilités et faire en sorte que chacun des citoyens de cette nation dispose d'un moyen de mobilité pour se rendre au travail ou tout simplement pour circuler librement – c'est surtout de cela qu'il est question. Vous n'êtes pas sans savoir que le rachat ou l'arrêt des concessions autoroutières coûterait à l'État une somme considérable.