Il vise à ajouter à l'alinéa 4, après le mot « députés », « , trois sénateurs et, avec voix consultative, des représentants de groupements professionnels intéressés désignés par décret ».
S'agissant de l'instance de gouvernance décisive pour assurer le suivi de la programmation des investissements pour les infrastructures, il importe de garantir un dialogue permanent entre les différents acteurs. Certes, c'est déjà prévu, mais il conviendrait d'ouvrir le COI aux sénateurs, qui représentent les territoires.