Je suis bien évidemment défavorable à ces amendements. Aujourd'hui, nous sommes réunis pour discuter des conditions de l'ouverture à la concurrence et en aucun cas de la privatisation de la RATP. La ministre a été très claire. Il faut cesser de dire que l'ouverture à la concurrence est une privatisation. Ce n'est pas du tout le cas.
Qui plus est, l'essentiel est de parvenir collectivement à trouver un accord sur les conditions sociales du transfert de tous ces salariés. En l'espèce, l'article 39 me rassure.