Sans revenir sur les graves conséquences de l'implantation de certains péages franciliens – dont celui de Dourdan, à 23 kilomètres de Paris – que j'ai exposées dans mes amendements précédents, je défends l'amendement de ma collègue Marie-Pierre Rixain, auquel je suis associée, et qui va exactement dans le sens souhaité par Mme la rapporteure.
En effet, vous avez motivé tout à l'heure votre avis défavorable par le manque de données chiffrées et suffisamment éclairantes sur ce sujet. Il s'agit précisément d'éclairer la représentation nationale, comme vous l'avez demandé tout à l'heure, par un rapport gouvernemental sur l'opportunité de la gratuité des portions d'autoroutes situées à moins de 60 kilomètres de Paris.