J'entends des inquiétudes, qu'il faut toujours écouter.
Pour autant, il est question des pièces visibles, comme les pare-brise, les rétroviseurs, les phares. Peut-être n'avons-nous pas vécu les mêmes expériences. En tant que préfète d'une région où étaient installés des fournisseurs de second rang, j'ai noté que ceux-ci ne se trouvaient pas particulièrement mis en valeur par les constructeurs. Ils pouvaient avoir envie d'accéder directement aux clients.
Cet article permet que des fournisseurs, industriels français présents dans nos territoires, accèdent à l'automobiliste sans nécessairement passer par le constructeur. Je peux vous assurer qu'ils seront nombreux à être satisfaits. M. Zulesi l'a dit, ils pourront aussi fournir des pièces pour des véhicules étrangers. Il s'agit donc là d'une belle opportunité pour conforter notre industrie et nos fournisseurs de second rang.