Un rappel des chiffres : 23 millions d'heures supplémentaires impayées à ce jour, soit au minimum 250 millions d'euros à verser. Je l'ai dit et je le répète ; les négociations sont en cours avec les organisations syndicales, cela fait partie du programme de travail du ministère de l'Intérieur. Précisons toutefois que cette dette nous a été laissée en héritage par nos prédécesseurs, elle ne date pas de l'année dernière ; le travail effectué doit donc en effet, et c'est bien normal, être payé, compensé ou récupéré.