La question de l'ivresse publique et manifeste se pose sous l'angle du temps mobilisé du côté des forces de l'ordre, en particulier la nuit. Cela représente notamment des heures d'attente aux urgences, avec des personnes ivres. Nous partageons le diagnostic : il faut donner la possibilité aux forces de l'ordre de récupérer du temps et de l'efficacité. Nous vous proposons de reprendre ce débat lors du moment que nous choisirons pour parler du continuum de sécurité, dans le cadre d'un texte plus ambitieux, car il n'y a pas que cette mesure qui permettra aux forces de la police nationale et de la gendarmerie de gagner du temps. Par ailleurs, je pense qu'il faudra associer les services sociaux à la réflexion et aux propositions sur ce sujet.