au lieu de contribuer à préparer les conditions du nécessaire débat.
Sur cette question, je pense que nous devons plutôt nous rassembler au lieu de stigmatiser ou d'utiliser un mot comme « squatter ». Quel que soit le statut juridique de celles et ceux qui sont en France, qui quittent la rue pour les places d'hébergement que nous leur proposons, parler de « squatt » n'est pas tout à fait digne