La réponse, madame Louwagie, est qu'il y a certes une difficulté communautaire, mais il y a aussi la façon dont on rémunère l'audiovisuel français : celui-ci dispose de plus de crédits que le ministère de la culture lui-même ! Mme la ministre de la culture va lancer une réflexion en liaison avec votre assemblée. Ce sera l'occasion d'examiner la question de la rémunération – puisque vous faites une comparaison avec la situation du groupe France Télévisions. Je ne doute pas qu'une partie des télévisions locales rendent un service public, mais je crois que la question n'est pas seulement communautaire ; elle est aussi locale.