Nous nous connaissons depuis bien longtemps Mon général et il me vient en mémoire ma première action officielle, le 18 juin 2002, en tant que nouveau député élu de la Nation. Il s'agissait du dépôt, à vos côtés, d'une gerbe devant le monument des anciens du 8e RPIMa, au quartier Fayolle, alors que vous étiez chef de corps de ce régiment. Vous avez omis de citer Castres dans vos propos, ce qui est exceptionnel, je me dois donc de réparer cet oubli. Je tiens à exprimer le respect que m'inspirent votre parcours et l'ensemble de votre action en faveur de toutes les composantes de l'armée de terre. Vous avez répondu par anticipation à la question que je souhaitais vous poser sur les forces parachutistes et leur entraînement. Concernant la réserve, vous avez évoqué un objectif en rapport avec les jeux olympiques en 2024, vous auriez pu néanmoins fixer également un second objectif, celui de France 2023 avec la coupe du monde de rugby. Plus sérieusement, compte tenu de votre expérience et avec un certain recul et la liberté de ton qui vous caractérise, pouvez-vous nous indiquer quelle est la nature des relations entre l'armée de terre et ses homologues des pays membres de l'OTAN et de l'Union européenne ?