Je réitère ma question : cet amendement concerne-t-il le parc touristique ?
Par ailleurs, je répète que le seuil retenu me pose un problème : dans mon département, par exemple, certaines habitations sont à trois cents mètres d'altitude, et d'autres à mille huit cents ou deux mille mètres. Si elles sont soumises au même seuil de consommation, soit ce seuil sera trop élevé pour les habitations en plaine, soit il sera trop bas pour les bâtiments en altitude. À trois cents mètres d'altitude, le climat n'est pas tout à fait le même qu'à mille huit cents mètres, et d'ordinaire ce type de mesures énergétiques s'applique avec des modulations.