Pardonnez-moi, monsieur le ministre d'État, mais précisément, il n'y a pas de plafond dans la rédaction que nous examinons. Le projet de loi indique seulement que vous aurez le droit d'en fixer un, mais il n'y a pas de plafond dans la loi. Que les choses soient claires : est-ce à dire, comme le laissait entendre Matthieu Orphelin, que les prévisions de RTE porteraient sur l'année 2023, qu'une sorte de marge de flexibilité est prévue et que les centrales à charbon pourraient continuer à tourner pendant un certain nombre d'heures afin de faire face aux pointes de consommation ? Est-ce à cause du projet Ecocombust de Cordemais, auquel je suis moi aussi opposée ? Encore une fois, les choses ne sont pas claires.