Rassurez-moi, monsieur le ministre : la France doit choisir le camp de la liberté. Depuis quarante ans, la République islamique d'Iran est la matrice du djihad mondial ; elle applique la charia, lapide les femmes, pend les homosexuels, emprisonne des journalistes et sponsorise le terrorisme. Sans remonter jusqu'à l'attentat du Drakkar ou à celui de la rue de Rennes, un méga-attentat a été déjoué il y a un an à Villepinte, nouvelle accueillie dans un silence troublant. Vous savez mon attachement à ces questions. Chaque année, ce régime négationniste organise un concours de caricatures sur la Shoah et déclare ouvertement vouloir anéantir l'État d'Israël. Aujourd'hui, les Iraniens profitent de nos divisions.
Certes, nous essayons d'éviter la guerre, mais, pour paraphraser Churchill : nous risquons d'avoir la bombe, la guerre et le déshonneur. Un seul objectif : l'Iran ne doit jamais avoir l'arme atomique. Aussi, monsieur le ministre, pourquoi, aujourd'hui, est-ce l'Iran qui fait pression sur l'Europe et non l'inverse ?