Quitte à choisir, plutôt que des énergies intermittentes, mieux vaudrait des énergies pilotables, au coût le plus bas et avec le meilleur impact carbone. Nous devons faire moins de vert et plus d'écologie.
Troisièmement, il faut appréhender le problème du nucléaire de manière pragmatique. La précédente majorité a voté ce que j'avais appelé l'« amendement Volvic » : une centrale s'éteint, une autre s'éveille. Il fallait fermer Fessenheim pour ouvrir Flamanville.