Il se situe dans une autre logique, et là encore, il me semble que ces amendements ne devraient pas faire l'objet d'une discussion commune. Le premier est relatif à la date, le second porte sur la caractérisation juridique de la date proposée par le Gouvernement.
Cet amendement de repli s'inscrit donc dans le scénario que vous avez choisi, monsieur le ministre d'État, et propose d'inscrire dans la loi le plafond de capacité nucléaire installée en 2035, soit 52,2 gigawatts, après une étape intermédiaire à 57,8 gigawatts en 2030, ce qui précisera la portée juridique des dispositions que notre assemblée est en train d'adopter.