Il s'agit de mettre fin aux investissements dans les énergies fossiles par les sociétés de gestion de portefeuille. Depuis la signature de l'Accord de Paris, les investissements des banques françaises dans ces énergies ont augmenté de 10 milliards d'euros par an.
Cet amendement propose d'abord que soit respecté un principe de transparence, c'est-à-dire que les informations concernées soient tout d'abord rendues publiques, et que, ensuite, à compter du 1er janvier 2020, ces actifs détenus dans les énergies fossiles soient réduits progressivement pour être portés à zéro d'ici à 2025.