La question tout à fait légitime de notre collègue Aubert permet en effet de rappeler que dans un certain nombre de secteurs, si nous voulons engager une véritable transition écologique et énergétique, il va falloir modifier certaines spécialités et former les salariés à de nouvelles pratiques. D'après les études nombreuses sur le sujet, cette évolution permettrait de créer 900 000 emplois.
Certaines entreprises devront cesser leur activité parce qu'elles sont anti-écologiques, mais elles feront l'objet d'un accompagnement – c'est du moins ce que nous proposons.
J'en profite pour m'étonner du manque d'arguments du côté du rapporteur ou du ministre…